Auteur: Jean-Robert Raviot, professeur en études slaves, université Paris Nanterre. http://jeanrobertraviot.com
12 mars 2022.
Ceci est une tentative d’analyse en forme de « mise à plat » de mes idées. « Travaux en cours », comme le disent les professionnels des travaux publics.
La guerre qui se déroule, sous nos yeux, quotidiennement depuis le 24 février dernier, et par médias interposés, résulte de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Il s’agit d’une agression dont l’ampleur est sans précédent en Europe depuis l’invasion de l’URSS par l’Allemagne en 1941. Dans cette guerre, l’Occident [OTAN et UE] ne s’engage pas militairement, mais il se place du côté de l’État agressé, de l’État qui subit cette invasion, l’Ukraine, et du côté des victimes sous le feu, les Ukrainiens. Il engage toute sa puissance politique, diplomatique et informationnelle contre la Russie. La mobilisation, côté occidental, est générale. « Nous sommes Ukrainiens ».
COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU FESTIVAL (см. ниже текст коммюнике на русском языке)
Du 16 décembre 2020 au 04 janvier 2021, le Festival du Film kazakhstanais en France, organisé par l'Association Française du Cinéma Kazakhstanais, en partenariat avec le studio de production « Kazakhfilm » et le ministère de la Culture et des Sports de la République du Kazakhstan, rouvre ses portes. Pour sa nouvelle édition, il se déroulera dans un format en ligne inédit.
La toute première rétrospective des classiques du cinéma kazakhstanais en France se tiendra sous le haut patronage de l'actrice Samal Yeslyamova : célèbre actrice du Kazakhstan, lauréate du Prix d’interprétation féminine au 71ème Festival de Cannes, ainsi que de l’Asian Film Award de la meilleure actrice pour son rôle dans Ayka.
Le président d'honneur du festival sera le réalisateur russo-kazakhstanais Sergueï Dvortsevoï : lauréat du Prix « Un certain regard » au 61ème Festival de Cannes pour son film Tulpan et du prix Nika du meilleur film documentaire pour son film Highway, membre de l'Academy of Motion Picture Arts and Sciences (Les Oscars du cinéma).
Le festival est soutenu par les autres membres et amis de l’Association française du cinéma kazakhstanais : Hugh Hudson, Maryam d’Abo, Richard Cocciante, Natalya Arinbasarova, Souleyman Cissé, Adilkhan Yerzhanov, Emir Baigazin, Aziz Beyshenaliev, Sanjar Madi, Hervé Schneid, Victoria Yakubov, Nicolas Trembasiewicz, Olivier Rabourdin, Nino Kirtadze.
Le programme du festival comprend quatorze films considérés comme des classiques du cinéma kazakhstanais, qui seront mis à la disposition du public gratuitement pendant 2,5 semaines sur la plateforme www.festivalfilmkazakhstan.com.
À partir de janvier 2021, il est également prévu d'organiser un ciné-club, dans le cadre duquel un film du cinéma kazakhstanais sous-titré en français sera mis en ligne chaque mois sur le site du festival. Au fur et à mesure que la situation sanitaire s'améliorera, les films seront projetés sur grand écran et accompagnés d’une discussion approfondie.
Обращаем ваше внимание на программу Третьих Муратовских чтений,которые состоятся в Неаполе в конце сентября этого года. Спасибо Ксении Муратовой за предоставленную информацию.
Università degli Studi di Napoli “L’Orientale”, Dipartimento di Studi Letterati, Linguistici e Comparati, Centro “Russkij mir”,
Istituto Italiano per gli Studi Filosofici Associazione Italiana degli Slavisti, Centro Internazionale di Studi Pavel Muratov
LETTURE MURATOVIANE III
Napoli 28-30 settembre 2017
Атвор : Ника Дубровская, детский писатель, Берлин-Лондон.
https://www.facebook.com/nikadubrovsky
"Паразиты" - это фильм про Бога, оставившего людей.
Бог - это архитектор дома, где живет семья богачей. Дом идеальный, просторный, светлый, по-настоящему божественный. Фотография архитектора промелькнула лишь однажды, но его присутствие ощущается в каждом кадре фильма.
Фильм развивается в двух архитектурных уровнях, между которыми по бесконечным лестницам перемещаются герои. Бедные спускаются вниз, богатые идут наверх.
В самом начале фильма, когда мы знакомимся с симпатичной семьей бедняков, сразу же появляется паразит вместе с экстерминатором, опрыскивающим улицы бедного района, в надежде от них избавиться.
Отец бедного семейства еще не знает, что паразиты и есть он сам и его семья. Он не знает, что они живут в аду, но по ходу фильма это становится очевидно.
Может показаться, что "Паразиты" - это социальная критика капиталистического общества, объясняющая, как ужасные условия делят людей на два биологических класса, заставляют одних принимать образ тараканов, а других изображать из себя богов.
В фильме, действительно, показано, что богатые постоянно судят бедных и принимают "вынужденные" решения изгнать из рая одних и поселить других.
Однако режиссер фильма "Паразиты" обманывает нас - это не социальная критика.